A en croire ses partisans, de gauche comme de droite, le revenu universel serait la mesure qui permettrait notamment de réduire la pauvreté, voire le chômage.
- Pascal De Lima Économiste et enseignant à Sciences-Po, spécialiste de la finance et de la crise des dettes souveraines dans la zone euro
- Frédéric Monlouis-Félicité Délégué général de l'Institut de l'entreprise
- Barbara Romagnan
- Thierry Coville Chercheur à l’IRIS, spécialiste de l’Iran
- Baptiste Mylondo Economiste, philosophe enseignant-chercheur à l'Ecole 3A de Lyon, enseignant à l'IEP de Lyon et à l'Ecole Centrale de Paris.
Qu’on l’appelle universel, d’existence ou de base, il s’agirait d’un revenu donné à tout le monde, une même somme, de la naissance à la mort, sans contrepartie, et quelles que soient les ressources des bénéficiaires.
Combien ? Comment le financer ? Les questions sont nombreuses, et au-delà de ces aspects pratiques, ce revenu questionne aussi le rapport de l’homme au travail. Tout travail mérite salaire disait la Bible – toute peine mérite salaire – avec le revenu universel, le non-travail mérite lui aussi salaire et ça change beaucoup de choses.
Certains voient même dans ce revenu un big bang social.
Il a aussi ses détracteurs, là encore de droite comme de gauche : mesure inutile, risque de voir disparaître les autres prestations sociales, et voir réapparaître le spectre de l’assistanat.
Le revenu universel est-il une nouvelle utopie ?
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